La chute prochaine de la Tech Géante et l’avènement des alternatives démocratiques: un avenir plus brillant en 2025

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L’année prochaine sera la dernière pour les Big Tech. Les partis politiques opposés, les experts du mainstream et même les géants de la technologie comme Y Combinator s’unissent pour défendre la “petite technologie” contre les titulaires.

Voici une autre raison pour laquelle Big Tech échouera en 2025 : le secteur de l’IA, dans lequel elle a investi massivement, perd de son élan. Les gros investisseurs comme Goldman Sachs et Sequoia Capital s’inquiètent. Ils ont récemment exprimé des inquiétudes concernant les milliards nécessaires pour construire et utiliser l’IA à grande échelle, ainsi que le mauvais ajustement du marché et les faibles rendements pour le modèle commercial de l’IA.

Chute de grâce – pourquoi ? Les effets collatéraux du modèle économique de Big Tech sont trop clairs pour être ignorés. La centralisation, la surveillance et le contrôle de l’information sont familiers. Cela se poursuit, pas hypothétiquement. Trop de pouvoir entre quelques mains est mauvais. Les raccourcis de Microsoft ont causé la panne de CrowdStrike à mi-2024, lorsque des hôpitaux, des banques et des systèmes de transport ont échoué à l’échelle internationale pendant longtemps.

Pourquoi les milliardaires ruinent l’économie

Le public et les décideurs politiques prennent conscience de la dépendance de l’IA à l’égard des données sensibles à un moment où la vie privée est plus importante que jamais, comme le montre la croissance des utilisateurs de Signal. La vie privée est souvent érodée par l’IA. Microsoft a introduit Recall en juin, qui capturerait tout ce que vous faites sur votre appareil afin qu’un système d’IA puisse vous offrir une “mémoire parfaite” de vos activités informatiques. (Regarder des films pour adultes ?). Le système avait besoin de telles images sensibles, qui n’existeraient pas autrement.

Heureusement, ces forces n’érodent pas seulement le pouvoir des Big Tech. Elles alimentent également des alternatives ambitieuses qui conçoivent et créent une technologie démocratique, indépendante, ouverte et transparente au lieu de jouer avec le paradigme technologique monopolistique. Imaginez !

Les développeurs open source, les chercheurs en gouvernance et les spécialistes de l’économie politique du secteur technologique se réunissent en Europe pour explorer une infrastructure technologique centrale autonome.

Les gens de l’argent critiquent et investissent dans de nouveaux paradigmes. De nouveaux investisseurs technologiques construisent des méthodes de financement alignées sur la mission pour l’innovation qui s’opposent à la surveillance, au contrôle social et aux absurdités. Un concept intéressant que j’explore avec certains de ces investisseurs mélangerait les incitations du VC standard (financer une start-up > croître > acquisition > devenir riche) avec une partie de leur investissement pour la technologie des ressources ouvertes, à but non lucratif, infrastructures cruciales. Pas comme investissement, mais pour soutenir un environnement d’innovation florissant (et peut-être leur procurer à eux et à leurs partenaires limités un crédit d’impôt).

Le capital étatique pourrait – et devrait – compléter un tel soutien. Nous avons besoin de trop d’argent pour bien accomplir cela. Par exemple, Signal coûte 50 millions de dollars par an pour être construit et exploité, ce qui est peu pour la technologie. Le Fonds Souverain Tech de l’Allemagne distribue de l’argent public à des infrastructures clés en open source, mais il est administré de manière autonome et sépare l’État du travail qu’il finance.

Le compostage crée des nutriments à partir de la nécrose, et la chute de Big Tech en 2025 commencera une écologie saine. Les gens intelligents, cool et curieux auront à nouveau les outils et l’autorisation de créer et de (re)construire un environnement informatique créatif pour le bénéfice, et non pour le profit et le contrôle. Puisse-t-il en être toujours ainsi !

La chute prochaine de la Tech Géante et l’avènement des alternatives démocratiques: un avenir plus brillant en 2025